Pas de Blackfriday ! Chez Coton d'Avril c'est toujours le bon moment de vous faire plaisir

Coton d’Avril, l’atelier créatif à l’écoute de ses clients

Niché sur le versant sud du Luberon dans le Vaucluse, Coton d’Avril est né de la passion créatrice de Corinne. Notre histoire, c’est 30 ans de création dans la couture, le crochet et le tricot. C’est une aventure familiale qui pousse une créatrice à monter un atelier qui fabrique, dans la région qui l’a vu naître, tout ce que vous trouverez dans notre boutique.

Coton d’Avril concentre le goût de l’artisanat et du travail bien fait, jusqu’à la dernière des finitions. Dès lors qu’il s’agit de plancher sur une nouvelle création, l’atelier bourdonne comme une ruche, alors que les idées fusent.

Coton d’Avril fait feu de tout bois : couture, bijoux, accessoires… Nous nourrissons une affection toute particulière pour les sacs en tout genre : sac à main, petit bagage, sac à langer, pochettes… Tous nos sacs et pochettes sont élaborés en partie en jean recyclé, provenant des jeans déjà portés. Dans notre atelier, rien ne se perd et tout se recycle.

Ce qui nous plaît avant tout est de manier tous les styles et de nous adapter à vos envies. Classique ou excentrique, passe-partout ou saugrenu, uni ou multicolore, nous travaillons sur toutes les matières, à la seule condition qu’elles soient de bonne qualité.

N’hésitez pas à nous faire partager vos avis sur les modes et tendances. Nous sommes friands de toutes ces informations qui nous guident et nous aident à concevoir des lignes créatives, en phase avec les goûts du moment.

Coton d'Avril Qui sommes nous

Corinne, créatrice de Coton d’Avril

La créatrice et chef d’équipe de Coton d’Avril est Corinne, née à Marseille il y a 55 ans. Ses proches la décrivent comme une « créatrice obsessionnelle ». D’aussi loin qu’elle s’en souvienne, sa vie a toujours tourné autour de la création.

Corinne est une touche-à-tout au meilleur sens du terme. Coudre et tricoter n’est pas suffisant pour créer des vêtements et accessoires originaux, esthétiques et robustes. Il faut s’intéresser à toutes les matières et à tous les artisanats.

Enfant, elle s’adonnait à toutes les activités manuelles. En grandissant, elle s’est orientée sur le monde de la mode et des accessoires. Ils sont devenus son essence, jusqu’à représenter un besoin vital.

Grâce à l’éclectisme de Corinne, Coton d’Avril s’enrichit chaque jour des idées de chacun. Chez nous, il n’est jamais question de brider sa créativité et toutes les excentricités sont permises. Grâce à un esprit d’équipe indéfectible, le travail commun permet ensuite de canaliser les idées pour arriver au must de la création, toujours en phase avec les goûts et les envies du client.

La naissance d’une créatrice

Il est essentiel de revenir sur la vie de Corinne pour comprendre à quel point la création en général et la couture en particulier ont façonné sa vie. Avoir une mère couturière à domicile n’est certainement pas étranger à l’attirance de Corinne pour le fil et les aiguilles.

On imagine aisément la fascination de la petite fille pour les grosses machines à coudre industrielles sur lesquelles travaillait sa mère. Alors que l’on nourrit la machine de morceaux de tissus et de fil d’un côté, il en ressort de l’autre un assemblage parfait, à la coupe nette, traversé par des points de couture habiles qui façonnent l’habit et lui confèrent d’harmonieuses courbes. Un tour de magie en quelque sorte !

Et puis, Corinne a appris elle aussi à faire des tours de magie, grâce à la première machine à coudre qui lui fut offerte à l’âge de 6 ans. Elle conserve aujourd’hui des étoiles dans les yeux à l’évocation de sa machine rouge qu’elle trimballait partout et qui consommait goulûment des légions de piles.

Rarement on a vu de poupées aussi bien habillées ! Elles furent les premiers mannequins de Corinne qui fourbit ses premières armes créatrices en leur faisant bénéficier de ses talents de couturière. La très jeune maîtresse d’œuvre assumait déjà toute la chaîne de production : choix des matières, conception du modèle et fabrication.

À partir de l’âge de 13 ans, Corinne se lança dans des conceptions plus audacieuses. Elles ne s’adressaient plus alors à ses poupées, mais à elle. Si la création de toutes pièces d’un pantalon ne vous impressionne pas, c’est que vous ne vous y êtes jamais essayé. Partant d’un tissu, un patron fait maison, une paire de ciseaux et une machine à coudre, la magie opéra encore. Il faut toute l’insouciance d’une jeune adolescente pour se lancer dans une telle aventure et parader ensuite, vêtue de sa première « œuvre », devant sa mère ébahie !

Et puis à 17 ans vint le temps de se mettre au tricot, histoire de se frotter à d’autres matières et d’autres aiguilles qui permettent aussi d’enrichir sa palette créatrice. Et puis…     

Coton d'Avril

La création au cœur du projet de Coton d’Avril

Et puis, à force de manier les fils et les aiguilles, l’entourage de Corinne fut le premier à bénéficier de sa dextérité. Tout y passa, les doudous des enfants, les pantalons en kevlar des copains motards, les cuissards des cyclistes qui passent souvent par la maison, les accrocs aux fringues des copines…

Après tout, quand on a une amie si douée, autant la mettre à contribution pour conserver nos habits et accessoires chéris dont on aurait peine à se débarrasser.

Et puis à force de réparer, à force de créer, pourquoi ne pas en faire bénéficier un cercle plus large ? C’est ainsi qu’est né Coton d’Avril, dans l’enthousiasme du moment.

Faisons fi de l’académisme et privilégions la spontanéité !

Corinne insuffle à Coton d’Avril la spontanéité qui l’a guidée toute sa vie. En matière de création, le conformisme n’est jamais bon conseiller. L’anecdote qui suit suffit à le confirmer.

Corinne est une autodidacte. On lui a mis entre les mains des matières brutes et son instinct lui a dicté les premiers pas, avant qu’elle ne se lance professionnellement, bénéficiant de sa longue expérience. Or, c’est cet instinct qui lui a commandé de tenir son fil de la main gauche lorsqu’elle s’est lancée dans tricot.

Les remontrances de son entourage l’ont déstabilisée. Est-il possible de tricoter à l’envers ? Faut-il se plier aux méthodes académiques ? Certes non, car cela nuirait à la qualité des créations. Faisant fi de ces remarques, Corinne a refusé de tricoter « comme il fallait », car cela bridait son art.

Comme elle a bien fait ! Elle a d’ailleurs depuis découvert qu’elle n’était pas la seule à « tricoter à l’envers ». En réalité — et elle l’a découvert grâce à Internet — elle tricote « à la continentale », sans le savoir et depuis toujours.

Coton d'Avril

Vive l’artisanat français et vive les circuits courts !

Coton d’Avril sonne le retour de l’artisanat français au profit du prêt à jeter à deux sous qui se disloque après deux lavages. Il est aussi le chantre du circuit court qui vaut bien mieux que le cargo qui vient livrer depuis l’autre bout du monde.

Les matières premières de Coton d’Avril font l’objet d’une rigoureuse sélection. Comme toujours, Corinne insiste sur la beauté intrinsèque du produit brut qui attend sagement d’être transformé, telle la citrouille s’apprêtant à devenir carrosse. Elle admire ses pelotes, tissus et perles, elle en apprécie les couleurs et les textures, comme s’il s’agissait des pierres précieuses. C’était déjà le cas il y a 35 ans, et sa ferveur est demeurée intacte !

L’atelier de Coton d’Avril se situe en Provence, une région de France qui a su préserver l’artisanat et ses traditions locales. C’est ici qu’arrivent les matières premières et qu’elles vont suivre toute la chaîne de création, de la coupe à la finition, en passant par l’assemblage. Tout ce qui sort de l’atelier est conçu et fabriqué sur place, sans jamais passer par un sous-traitant.

Nous vous invitons à découvrir nos créations et à nous soumettre tous vos projets, car nous sommes toujours enthousiastes à l’idée d’aiguiser notre esprit créatif !